Henry Charles Bukowski est un écrivain américain du vingtième siècle. Il est l'auteur de poèmes, de nouvelles et de romans, souvent d'inspiration autobiographique.
Menant une existence précaire faite de petits boulots, de misère, de cuites mémorables et de parties de jambes en l'air, il n'a toutefois jamais renoncé à écrire. Après plusieurs années d'un emploi stable mais harassant à la poste, il peut enfin vivre tardivement de sa plume.
Son œuvre exprime de manière brillante, drôle et totalement décomplexée une indépendance et une liberté totales, que ce soit à l'égard de son mode de vie, des femmes, du monde du travail ou de la société en général. Marginal par excellence, il n'a cessé de manifester une grande tendresse pour tous les laissés-pour-compte.
Menant une existence précaire faite de petits boulots, de misère, de cuites mémorables et de parties de jambes en l'air, il n'a toutefois jamais renoncé à écrire. Après plusieurs années d'un emploi stable mais harassant à la poste, il peut enfin vivre tardivement de sa plume.
Son œuvre exprime de manière brillante, drôle et totalement décomplexée une indépendance et une liberté totales, que ce soit à l'égard de son mode de vie, des femmes, du monde du travail ou de la société en général. Marginal par excellence, il n'a cessé de manifester une grande tendresse pour tous les laissés-pour-compte.
Quelques citations, parmi les innombrables mots cultes du génial Buk :
"J’étais magasinier chez un concessionnaire automobile et j’avais du mal à joindre les deux bouts. Mes seules joies étaient la bouffe, la bière et l’amour avec Sarah. C’est pas ce qu’on appelle une vie bien remplie mais il faut faire avec ce qu’on a."
"La différence entre une démocratie et une dictature, c'est qu'en démocratie tu votes avant d'obéir aux ordres, dans une dictature, tu perds pas ton temps à voter."
"La poésie en dit long et c’est vite fait. La prose ne va pas très loin et prend du temps."
"Les hôpitaux, les prisons et les putes : telles sont les universités de la vie. J'ai passé plusieurs licences. Vous pouvez me donner du Monsieur."
"Quand un homme s'angoisse pour son loyer, les traites de sa voiture, le réveille-matin, l'éducation du gosse, un dîner à dix dollars avec sa petite amie, l'opinion du voisin, le prestige du drapeau ou les malheurs de Brenda Starr, une pilule de LSD a toutes les chances de le rendre fou parce qu'il est déjà fou en un sens, écrabouillé par les interdits sociaux et rendu inapte à toute réflexion personnelle."
"La majeure partie de l’humanité me donne fondamentalement envie de vomir."
"L'horreur, ce n'est pas la mort, mais la vie que mènent les gens avant de rendre leur dernier soupir. Ils n'ont aucune considération pour elle et ne cessent de lui pisser, de lui chier dessus."
"Comment diable un homme peut-il se réjouir d'être réveillé à 6h30 du matin par une alarme, bondir hors de son lit, avaler sans plaisir une tartine, chier, pisser, se brosser les dents et les cheveux, se débattre dans le trafic pour trouver une place, où essentiellement il produit du fric pour quelqu'un d'autre, qui en plus lui demande d'être reconnaissant pour cette opportunité ?"
"Financièrement parlant, il valait manifestement mieux avoir une chatte qu'une queue."
"J’étais magasinier chez un concessionnaire automobile et j’avais du mal à joindre les deux bouts. Mes seules joies étaient la bouffe, la bière et l’amour avec Sarah. C’est pas ce qu’on appelle une vie bien remplie mais il faut faire avec ce qu’on a."
"La différence entre une démocratie et une dictature, c'est qu'en démocratie tu votes avant d'obéir aux ordres, dans une dictature, tu perds pas ton temps à voter."
"La poésie en dit long et c’est vite fait. La prose ne va pas très loin et prend du temps."
"Les hôpitaux, les prisons et les putes : telles sont les universités de la vie. J'ai passé plusieurs licences. Vous pouvez me donner du Monsieur."
"Quand un homme s'angoisse pour son loyer, les traites de sa voiture, le réveille-matin, l'éducation du gosse, un dîner à dix dollars avec sa petite amie, l'opinion du voisin, le prestige du drapeau ou les malheurs de Brenda Starr, une pilule de LSD a toutes les chances de le rendre fou parce qu'il est déjà fou en un sens, écrabouillé par les interdits sociaux et rendu inapte à toute réflexion personnelle."
"La majeure partie de l’humanité me donne fondamentalement envie de vomir."
"L'horreur, ce n'est pas la mort, mais la vie que mènent les gens avant de rendre leur dernier soupir. Ils n'ont aucune considération pour elle et ne cessent de lui pisser, de lui chier dessus."
"Comment diable un homme peut-il se réjouir d'être réveillé à 6h30 du matin par une alarme, bondir hors de son lit, avaler sans plaisir une tartine, chier, pisser, se brosser les dents et les cheveux, se débattre dans le trafic pour trouver une place, où essentiellement il produit du fric pour quelqu'un d'autre, qui en plus lui demande d'être reconnaissant pour cette opportunité ?"
"Financièrement parlant, il valait manifestement mieux avoir une chatte qu'une queue."