Tu cours encore et toujours à perdre
haleine
Courir à en crever à en devenir
carrément vert
L'espoir ces cordes qui font vibrer ton
âme de crécelle
Tu crois encore que tu pourras
t'acheter un destin facile
Dans ce monde peu d'élus que des
squelettes fragiles
L'espoir t'anime pas besoin encore de
défibrillateur
Bientôt tu ne courras plus couché
parmi de grises fleurs
Terrassé l'espoir aura quitté ton âme
servile de pantin
Tu cours encore et toujours à perdre
haleine
Courir à en crever à en devenir
carrément vert
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Beaucoup de gens prennent la vie pour une course contre la montre; d´ailleurs la Société nous enseigne à agir ainsi: créant en nous un stress qui parfois nous conduit entre les pâquerettes plutôt qu´on ne l´espérait!
RépondreSupprimerBeau poème.
Bon dimanche, bisous Ismeralda
Oui, c'est dommage, la société occidentale valorise l'action et le paraître au détriment de la contemplation et de l'être : c'est ce que je dis dans "Majeur en l'air".
SupprimerBon dimanche.