Comment être puissant quand on se lève
dès l'aube
Tête dans les fesses et charisme dans
les chaussettes
Réveil beaucoup trop tôt debout avant
le chiffre sept
Aller au boulot tous les jours sans
vivre pleinement
C'est comme se faire fourrer de force
par Belzébuth
On est loin des rêves de gloire avec
belles et putes
Certains sont carrément dedans pris
jusqu'à la garde
Le bougre est réputé pour avoir un
bon coup de reins
Peu de révoltés ici-bas rares sont les
couilles d'airain
Ainsi va la vie quoi qu'on en dise il
faut gagner le pain
Donc il n'y a pas le choix obligé de
foncer chaud devant
Jusqu'à ce que la tronche se résume à
chauve deux dents
Aucune solution miracle au plus des
maigres alternatives
D'aucuns veulent oublier qu'ils s'escriment en tocard tristes
D'aucuns veulent oublier qu'ils s'escriment en tocard tristes
Ne trouvent pas mieux que de s'exprimer
en tant qu'artistes
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Je sens que vous vous êtes bien amusé en choisissant l’illustration de ce poème, cher Marginal. Moi en tout cas j’ai beaucoup apprécié la musculature de ce Belzébuth, digne de celle de Ken le survivant, sans parler de ses autres atouts si fièrement exhibés !
RépondreSupprimerLe problème, c’est que ce membre robuste sert, comme vous le dites si finement, à « fourrer » les pauvres victimes de la société moderne… Je ne vois pas d’issue : comme disait un collègue de Travis Bickle dans « Taxi Driver » : « We’re all fucked, more or less you know… » Ce qui est rageant, c’est quand l’aliénation du travail frappe un individu aux capacités plus développées, qui pourrait magnifiquement s’épanouir sur tous les plans dans la liberté totale, comme c’est votre cas, cher Marginal. Mais même dans des conditions exceptionnellement favorables, il ne faut pas s’illusionner : la vie s’arrange toujours pour se rendre invivable… En tout cas, une fois de plus votre rage vous a inspiré un poème assez original, plein de jeux sur les sonorités et d’expressions marquantes (j’ai apprécié les « couilles d’airain »), et qui se rapproche de plus en plus de la métrique traditionnelle. En somme, plus vos vers sont réguliers, plus vous les remplissez d’obscénités !
Oh, cher Laconique, vous savez, le choix de cette illustration m'a été facile : il m'a suffi de songer à vous face au spectacle d'une nymphette !
SupprimerMais, vous avez raison, je me suis "bien amusé" en choisissant cette image, il n'en faut pas plus à ma puérilité pour la satisfaire.
Pour ce qui est de la forme, et encore plus du fond, j'aime bien varier. Là je me suis bien régalé en jouant avec les mots qui se ressemblent, en faisant des paronomases, une figure de style que j'apprécie particulièrement, car les rapprochements peuvent être très drôles et surprenants. Mais je suis encore loin de "la métrique traditionnelle", préférant jouir d'une certaine liberté d'expression sans me contraindre à une forme fixe.
Le membre turgescent de l'illustration sert en effet à "fourrer les pauvres victimes de la société moderne", mais le problème véritable c'est qu'il y en a pas mal qui y ont pris goût : ils savourent ce membre gonflé allant même jusqu'à le sucer avec zèle et amour. Je les soupçonne même de regretter qu'il n'y en ait pas un deuxième tout aussi gros afin d'être gang bangués ! Qu'est-ce que voulez que je vous dise, cher Laconique, certains ont des âmes d'aigle et d'autres de pigeon, et encore c'est faire outrage à ces charmants volatiles. Je vous renvoie à ce propos à mon excellent poème intitulé "Les aigles".
l'image de Belzébuth est-elle votre création cher marginal?
SupprimerÉh, j'aurais bien voulu créer une si belle image, mais j'ai simplement apporté quelques modifications.
SupprimerD'ailleurs, si je l'avais façonnée de toutes pièces, j'aurais accru les dimensions de ce petit sexe turgescent afin qu'il soit davantage suggestif.
Un vieux me disait,tu peux rêver en cette vie tant que tu peux,tant que tu veux,mais n'oublie pas de ramasser tes patates à la fin de l'été,si tu ne veux crever cet hiver,le corps a autant d'impératifs que l'esprit,comme un devoir imposé par notre existence,libres sommes-nous,oui seulement quand nous ne crions famine,le désir est tout à notre plaisir,
RépondreSupprimersalut à toi et bon week-end.
Ce vieux dont tu parles était un sage, ou, du moins, il avait l'expérience de la vie ! Effectivement nous sommes avant tout des corps et les besoins concrets, primaires, sont les plus essentiels : sans eux rien n'est possible ! On oublie vite ceux de l'esprit si on crève la dalle ou si on ne dort pas pendant quelques jours...
SupprimerBon week-end.
Un poème très de circonstances...car avec le bourrage de crâne que font les médias, qui vous obligent à percevoir le mal être même où il n´était pas concevable; on finit par regarder la Vie, la Société avec dépit!
RépondreSupprimerOn est mécontent de tout : les habitudes, le travail, les chefs d´entreprise, les normes, les lois, les obligations (un sujet délicat!)...etc.
Une fois de plus à qui profite le crime de la propagation/propagande d´informations qu´innonde chaque jour le journal (parlé/télévisé), mauvaises nouvelles relatives à la situation économique mondiale qui d´ailleurs n´affecte que classe moyenne et ouvrière...car pour le reste de la population : les richesses sont toujours abondance (d´ailleurs, au début de la crise en Espagne, 2010, un reportage sur les commerces concluait si vous souhaitez ouvrir une boutique qui fera des bénéfices attaquez vous au marché du luxe!).
Bonne soirée, bisous Ismeralda
Hé, chère Ismeralda, je crois malheureusement que la réalité n'est pas si rose que cela, même sans "le bourrage de crâne des médias", qui, tu as raison, n'arrange rien aux moral des troupes !
SupprimerC'est toujours pareil, où est la limite entre "être mécontent" pour de bonnes raisons et "être mécontent de tout" ? Parfois, il y a de justes raisons de s'indigner il me semble ! Mais je suis d'accord avec toi, il faut s'efforcer de relativiser et de positiver.
Et une fois plus tu vois juste : le marché du luxe ne s'est jamais aussi bien porté !
Bonne soirée et bon week-end ! A bientôt.
Le stress du boulot, ça existe et ça peut bouffer la joie de vivre et ronger la personnalité. Je sais de quoi je parle, moi qui ai un job très prenant. Je m'en sors en faisant à côté ce que j'aime et il y a beaucoup de choses que j'aime. J'ai pris beaucoup de plaisir à vous lire, on se sent moins seul quand on peut partager et j'apprécie ce franc-parler de votre écriture.
RépondreSupprimerBonne soirée.
Merci pour ce commentaire et les compliments.
SupprimerUn "job" ne peut pas suffire à l'épanouissement ou alors dans de très rares cas. C'est pourquoi on peut voir des types se plonger corps et âme dans des passions comme le tuning, le modélisme ou même le transformisme (c'est à dire l'art, si on peut appeler ça un art, de se grimer afin de se glisser dans la peau du sexe opposé)...
Cependant les passions n'ont pas toutes le même degré de noblesse et il y a quelque chose de profondément triste, cette tristesse étant proportionnelle à la futilité de la passion, dans la façon qu'ont certains êtres de se réfugier dans ces espèces de pis-aller de l'existence. Pour ma part, je ne peux m'empêcher de songer à la vacuité de la vie lorsque j'assiste à ce genre de spectacle.
Bonne soirée.
La solution: positiver de toute la force de son mental. De toute façon, cela est inutile de se révolter puisque comme tu le dis, il faut gagner sa vie, ce qui permet d'ailleurs de la rendre plus agréable en s'offrant des petits plaisirs. L'idéal, trouver le bon équilibre entre la vie professsionnelle et la vie personnelle. Mais j'avoue qu'un petit texte bien pesé comme celui-ci avec sa dose de mordant, de lucidité désabusée, d'humour noir, est un bon défouloir et pour l'écrivain et pour le lecteur. A bientôt.
RépondreSupprimerUne bonne gestion du mental est capitale pour résister et positiver !
SupprimerToutefois, se révolter est loin d'être "inutile", à condition que ce soit productif et positif : il faut que cela serve à aller de l'avant ! Puis si personne ne s'était jamais révolté contre rien, où en serait-on aujourd'hui ?
En tout cas, ce texte est surtout, comme tu le dis, un poème pour le fun et le divertissement, plus léger que le précédent très engagé :
"Shoanimaux".
A bientôt.
Vu l' illustration je veux bien donner mon âme et plus au diable quitte à le tirer par la queue...
RépondreSupprimerMoi ce que je sais, c'est que si je vais en enfer je me baisserai pas pour ramasser le savon dans la douche...
Supprimerpersonnellement, ça ne me dérangerait pas ! Quoiqueue ! Quoiqueue !
SupprimerTu es le roi des jeux de mots grivois, ce n'est plus à prouver depuis tes commentaires sur "Le lit de Procuste" !
SupprimerToi que je ne connais pas mais en qui je me reconnais c'est diaboliquement divin de perspicacité blasée. Pas le choix, forçats du turbin pour ne pas tirer le diable par la queue magnifique de ton illustration qui va faire des envieux.
RépondreSupprimerSalut et bonne journée de repos.
Je pense que mon illustration va effectivement faire beaucoup d'envieuses ! Et en ce qui concerne les envieux, je préfère ne pas imaginer ce qu'ils feraient avec ce diable, afin de ne pas troubler mon repos justement avec des représentations mentales désagréables...
SupprimerA bientôt.
Ah, monsieur Le Marginal, que de recherche dans vos illustrations ! Si celle- ci particulièrement choc nous renvoie à tous nos maux de troupeau passif, elle va faire fantasmer au féminin et au masculin pour le démesurément viril membre. Je m'amuse bien en vous lisant. Magnifique, vous l'êtes par votre prose engagée qui dénonce, fustige, raille, avec humour et auto-dérision .
RépondreSupprimerBonne journée, pour moi ce matin c'est repos et vous êtes mon quart d'heure détente.
Merci pour ce commentaire. On fait ce qu'on peut pour préserver sa magnificence...
SupprimerBonne journée.
La force est avec toi Le Marginal. Tu as tout compris comme moi, mais toi tu sais supérieurement bien l'exprimer et je suis d'accord avec le commentaire précédent, tu nous régales dans l'émotion comme dans la caricature. Je me suis bien marré en lisant les expressions savoureuses de ce poème. Salut.
RépondreSupprimerMerci pour ce commentaire ! Je ne suis pas du niveau de maître Yoda, mais la force est effectivement avec moi, même si elle l'est parfois de la façon dont je l'exprime dans ce poème : "La force est avec moi".
SupprimerA bientôt.
Quand l'artiste lui-même en notre folle société,donne l'impression d'aller au turbin sous la puissante pression de sa production,en son art de connaître davantage le bonheur de vivre,Belzébuth semble mettre tout son dévolu sur la célébrité si voulue,attendue par le grand nombre,
RépondreSupprimerfaut-il vivre caché et anonyme pour connaître son intime gloire,
salut à toi et bonne soirée.
Mieux vaut vivre caché que se faire fourrer par Belzébuth, quelle que soit la forme d'aliénation qu'il représente !
SupprimerBonne soirée.
Bonsoir
RépondreSupprimerUn peu de temps, juste un peu comme d'habitude mais le compte à rebours a été lancé.
Pour moi c'est 4 ou 5 le matin suivant la mission. Je me lève d'un bon, d'un seul. Grande insomniaque, le réveil n'est qu'une option. Donc j'ai choisi on travaille le matin et le reste de la journée tranquille enfin si on peut dire (pas de patron). Quand au boulot, on ne me marche pas sur les pieds, on vient de me "demander" de rester. Je pliais bagage, débrouillez-vous. Là-aussi tranquille. Je ne me prends pas la tête et je le refuse tout net.
Bonne soirée
A bientôt
Marie-Pierre
Bonsoir,
SupprimerOn peut dire alors que tu tiens Belzébuth plus ou moins à distance par ton caractère ferme et ta personnalité, mais ton attention doit être constante :-).
Bonne soirée, à bientôt.
Re bonsoir
RépondreSupprimerBon ma réponse s'est envolée, je ne sais pas où, je recommence.
Etre constante oh ça oui!! Et je peux te dire que certains disent que je ne suis pas un cadeau. Au moins, on sait ce que je veux, pas d'ambiguïté. Mais je ne suis pas un âne qui recule et je ne détiens pas la palme d'or de la connerie. Oui, je suis ferme et il en faut de la fermeté dans ce monde de fous.
Bon je te rassure, il y a quand même quelque part un petit agneau qui n'a même pas peur du grand méchant loup
A bientôt
Marie-Pierre
Ça c'est sûr ! Malheureusement le trop humble et gentil se fait dévorer. Je le déplore, mais c'est la loi de la vie, dans tous les domaines, et je l'exprime ici : "Lutter". Nous ne sommes pas encore assez raffinés et civilisés, dans l'ensemble du moins, pour passer outre...
SupprimerEt pour la palme d'or de la connerie, ne t'inquiète pas, elle n'est pas perdue pour tout le monde, il y a beaucoup d'élus !
A bientôt.
Le travail, c'est la santé, ne rien faire c'est la conserver. Cette formule me plait bien mais ce qui m'embête, c'est que pas de boulot, pas de pognon, et j'aime me faire plaisir. Alors, composons avec Belzébuth et c'est parti pour 8 heures de turbin. Mais, je m'associe à ton rigolo et légitime ras le bol, c'est un méga exutoire. Bonne journée.
RépondreSupprimerJ'aime bien la deuxième partie de la maxime en ce qui me concerne. D'ailleurs ce n'est certainement pas un hasard si le travail est associé à l'idée de souffrance comme l'indique son étymologie : le mot est issu du latin "tripaliare" signifiant "tourmenter, torturer avec le trepalium", un instrument formé de trois pieux auquel on attachait les esclaves pour les punir.
SupprimerMoi je n'en ai pas forcément ras-le-bol, mais il faut arrêter d'ériger le travail en valeur, comme on veut nous le faire croire, parce que sur le plan individuel on ne gagne pas grand chose à exercer une activité qui consiste à échanger sont temps de vie limité contre quelque chose dont la valeur est aussi relative que du pognon. C'est ce que je dis au début de
"Les aigles".
Bonne journée.
Amusant tout en etant tres realiste et desabuse sur notre propre condition. J'adore....
RépondreSupprimerMerci pour ce commentaire. Oh, peu de choses méritent d'être prises au sérieux et surtout pas notre condition : "Echelle cosmique".
SupprimerJ'exerce une profession que j'ai choisie et que j'aime, mais il m'arrive aussi d'être sous pression et d'avoir des coups de fatigue. heureusement, j'ai pas mal de temps libre et je peux alors faire ce qui me plait. On a tous des hauts et des bas, on gueule un bon coup histoire de se soulager et puis on continue en se disant après la pluie le beau temps. Hardie la gravure, mais génialement ciblée.
RépondreSupprimerEn fait, tu fais un bon résumé de la vie dans ce commentaire : en somme une alternance de moments faciles et d'autres plus durs. Une fois qu'on a compris cela, tout devient plus simple, il me semble. Lorsqu'on croit que la vie est bonheur à cent pour cent sans souffrance on se fourre le doigt dans l'oeil et rien n'est plus dangereux que ce genre de croyance. Il faut savoir à quoi s'attendre pour apprécier les instants en connaissance de cause.
SupprimerPour l'image, c'est vrai qu'elle est "hardie", j'ai presque hésité à la mettre en accompagnement de ce poème, car je la trouvais un peu vulgaire, mais finalement je n'ai pas pu m'en empêcher...
Tous manipulés comme des pions par le système. Notre luxe, c'est d'en avoir conscience pour pouvoir à l'occasion être opportunistes, en plaisanter, humour noir d'actualité, bref s'en distraire comme avec ce truculent et sympathique Belzébuth. A nous, l'innocence intelligente et calculée et donc les mains pleines, de quoi, à chacun d'en débattre...
RépondreSupprimerMerci pour ce commentaire. Je suis bien d'accord : le recul permet de se libérer un peu du système qui nous "manipule comme des pions". Oh, "les mains pleines", tant que c'est pas avec les attributs de Belzébuth...
SupprimerA bientôt.
Un bon travail effectué avec professionnalisme peut être épanouissant. C'est selon le contexte et les cas. Le contraire va dans le sens de ton thème. Mais les vacances, ah les vacances, çà c'est le pied ! Bonne journée
RépondreSupprimerDisons que l'être humain ne peut rester inactif, il est fait pour l'action, alors une activité dans laquelle jeter son énergie lui est nécessaire pour son équilibre naturel. Donc oui, le travail permet un certain équilibre et peut être épanouissant, à condition qu'on en ait la totale maîtrise, qu'on l'ait choisi et qu'il ne soit en rien une contrainte, ce qui est rare il faut le reconnaître.
SupprimerBonne journée.
très beau et orfennixien ! Et, Il m'aura fallu regarder à 2 fois avant de voir le chybre que j'avais zappé ! Enfin, si tes matins sont si glorieuxc, pourquoi te plaindre ?
RépondreSupprimerBen dis donc, je sais pas ce qu'il te faut pour "zapper" un "chibre" pareil ! Pourtant c'est du lourd, du gros calibre...
SupprimerTrès bonne soirée Le Marginal.
RépondreSupprimerDe même Le Chasseur d'images spirituelles !
SupprimerJubilatoire allégorie ! Que la lumière fuse ! Tous solidaires !
RépondreSupprimerQu'elle fuse ! Afin d'éclairer le membre turgescent du diable et de le fuir...
SupprimerUne semaine sur deux, je travaille de nuit. C'est dur, on finit par perdre le sommeil et pour gagner 1600 euros par mois. Je n'ai pas le choix, il faut bien gagner sa croûte. Alors, la tête dans les chaussettes, je connais mais je suis loin d'être un cas unique, tu décris avec réalisme ce genre de situation. Le boulot est loin de m'épanouir, heureusement pour moi j'ai d'autres pôles d'intérêt. C'est la seule façon de ne pas se laisser baiser complètement et de s'en sortir.
RépondreSupprimerMerci pour ce commentaire et avis sur la question. Le travail de nuit, ça doit marginaliser ! Tu dis tout dans la fin de ton commentaire : il faut trouver un moyen "de ne pas se laisser baiser complètement". Le "complètement" à son importance...
SupprimerJ'aime bien cette citation de Michel Audiard : "J'ai divisé la société en 2 catégories : mes amis ou mes cons à moi et les cons des autres que je ne supporte pas". De quoi, un peu mieux supporter toutes les agressions que nous subissons dans notre vie professionnelle et privée. Dans la mesure du possible nous éloigner de tout ce qui nous est nuisible voilà un bon bouclier contre le rusé Belzébuth. Bonne journée.
RépondreSupprimerJolie citation ! On est entouré de cons, mais autant être entouré de personnes pratiquant le même type de connerie que nous :-).
SupprimerLe problème c'est qu'il est difficile de "nous éloigner de tout ce qui nous est nuisible" ! Le plus dur est de fréquenter Belzébuth tout en gardant recul et intégrité...
Bonne soirée et à bientôt.
Ton regard acéré et ironique sur le rapport avec le taf me parle trop. De toute façon, le monde est une jungle gérée par le pognon, il faut turbiner, toujours turbiner et Belzébuth est roi, qui cherche à nous entuber. C'est un cercle vicieux, pas moyen d'y échapper sous peine de végéter en rebuts de la société, pas de place au soleil. La seule liberté qu'on a vraiment, c'est celle de la pensée.
RépondreSupprimerSalutations.
Beau résumé lucide de la situation ! Je vois qu'on se comprend...
SupprimerA bientôt.
VOilà, je viens te lire depuis quelques jours seulement et déjà je suis fan! Quelle verve, de plus, très imagée! Oui, se lever potron-minet me fait enrager et je m'accroche à mon temps libre désespérément! J'apprécie alors d'autant mieux, tout ce qui n'est pas boulot...L'illustration : même pas peur!!! bonne soirée, CHarlotte
RépondreSupprimerOh, merci pour ce commentaire ! "Verve" d'autant plus "imagée" qu'elle l'est par une verge :-). Je vois qu'on se comprend pour ce qui est de se lever dès "potron-minet". D'ailleurs elle est marrante cette expression ancienne, je l'aime bien, tu me fais penser que je devrais l'employer plus souvent.
SupprimerÀ bientôt.
Alors là, je ris haut et fort! j'étais persuadée que tu allais jouer avec le V et le G!!!....J'ai gagné! bonne soirée, Charlotte!
RépondreSupprimerTu commences à me connaître :-).
SupprimerBonne soirée.