Se contenter de ce que l'on a
Ne pas désirer c'est très bien
Se contenter d'être un vil pion
Ne pas résister ça l'est moins
J'ai une attitude libre cavalière
Mais quitte à jouer aux échecs
Je préfère largement être le roi
Ou pourquoi pas parfois le fou
Tour à tour échec ou victorieux
Cependant jamais maté encore
Case par case un pas suit l'autre
Glorieux sans faire de chèques
J'enverrai valser haut le damier
Tout ce qui est jeux de société
Je n'aime pas ne supporte pas
Trop de menteurs de tricheurs
Se contenter de ce que l'on a
Ne pas désirer c'est très bien
Se contenter d'être un vil pion
Ne pas résister ça l'est moins
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Cela convient très bien à mon tempérament de Lion....
RépondreSupprimerbelle journée Amicalement
Un patriarche est forcément un vieux sage chef de meute :-).
SupprimerBonne journée !
Difficile pour moi d’être objectif sur ce poème, cher Marginal, car avec le jeu d’échecs vous touchez une corde sensible chez moi ! La plupart du temps que je passe sur la toile, je ne le passe pas en effet, contrairement à ce que vous croyez, sur des sites pornographiques, ni même sur votre site si distingué, mais je le passe à me confronter à des Turcs ou à des Allemands sur un site d’échecs. En tout cas, j’admire, en toute objectivité, la virtuosité avec laquelle vous vous êtes joué des contraintes que vous vous êtes fixées sur ce poème : vous avez réussi à citer toutes les pièces (sauf la Dame ; faut-il y voir une marque de misogynie ?) d’une manière parfaitement adéquate et naturelle. Un exercice de style brillamment exécuté ! Ah là là ! votre cerveau si souple ferait des merveilles aux échecs, mais je doute que vous ayez l’équanimité nécessaire pour supporter avec philosophie les inévitables défaites qui surviennent de temps à autre. (Sensation très désagréable que de perdre contre un malotru rageur qui joue ses coups en moins d’une seconde et vous insulte dans la fenêtre de chat par-dessus le marché, moi-même j’ai failli balancer mon écran par la fenêtre à plus d’une reprise dans cette situation…).
RépondreSupprimerEn tout cas, cher Marginal, rassurez-vous : le pion est vil en apparence, mais si on le méprise trop il trace sa route, atteint la huitième rangée, effectue sa promotion et nique alors tout le monde !
P.S. : Il me semble qu’une coquille s’est glissée au premier vers de la troisième strophe.
Hé, cher Laconique, je sais bien que vous êtes fan du jeu d'échecs qui permet de mettre votre brillant cerveau en branle et votre fin esprit à l'épreuve tout en vous divertissant. Je ne suis donc pas étonné que vous ne passiez pas votre temps complet sur "des sites pornographiques" et que vous relâchiez un peu la pression et votre membre puissant avec une bonne partie d'échecs en ligne.
SupprimerJe vous remercie pour vos compliments sur mon poème : peut-être, sachant que je les apprécie, avez-vous vu en moi un disciple de Georges Perec et de l'Oulipo sur ce coup-là, mais pour être franc je ne me suis pas vraiment fixé de contraintes, tout est venu très naturellement, puisque mon état d'esprit à la composition est toujours de me marrer et de me régaler au maximum en toute liberté.
Ce n'est pas l'égalité d'humeur qui me manque pour m'adonner à la pratique des échecs, mais bien plutôt la patience. Comme je le dis à la fin de mon poème, je n'aime pas les jeux de société, surtout à cause de la sensation de perte de temps et de profond ennui qu'ils me procurent (Vous savez combien le temps qui fuit est une question qui me préoccupe ! Voir par exemple : "Produits de consommation" ), mais aussi parce que mes semblables ne me donnent pas du tout envie de jouer avec eux, à part parfois peut-être si c'est pour dévisser leur tronche de "malotru rageur" et me servir de leur cou comme toilettes. Vous-même d'après ce que vous me dites parvenez à perdre votre calme pourtant légendaire !
Le pion peut tout devenir sauf un roi, si je me rappelle bien les règles ! Ou alors il faut qu'il soit un Marginal Magnifique élu qui voit la "Matrice" .
Et merci pour la coquille qu'avec beaucoup de diplomatie vous "semblez" discerner, cher Laconique, vous êtes inestimable !
Voudrais-tu Marginal Magnifique saisir
RépondreSupprimerTa plume par son autre extrémité afin
De gaiement chatouiller mon si charmant vagin ?
Et lorsque tu auras assouvi mon désir
Pourquoi ne point conclure le plaisir immédiat
D’entre nos deux blogs un doux partenariat ?
Tu me prends par les sentiments avec ce poème, chère Freya ! Le Marginal Magnifique est toujours partant pour rendre service, à fortiori s'il s'agit de "saisir sa plume" pour chatouiller la feuille ou autre chose.
SupprimerCependant la réponse à ta question si joliment formulée est contenue dans le nom même du Marginal Magnifique. Un marginal est par définition un être à part, qui vit à part, et s'acoquine peu avec les autres dans des engagements du type "partenariats".
Et pour parler sans langue de bois, toute sympathique, brillante et attrayante que tu sois, tes écrits soutiennent parfois une idéologie plus que controversée, traitent de sujets très sensibles, et propices à créer des inimitiés. Aussi, pour que je décide de m'y associer, il faudrait que j'embrasse pleinement les convictions qu'ils défendent, ce qui n'est pas vraiment le cas.
Cela étant dit je ne me priverai pas de jeter régulièrement un oeil à tes poèmes et autres textes, car tu possèdes des qualités d'écriture et de pensée indéniables et rares.
Je ne te vois pas du tout comme un pion, plutôt comme un pionnier.
RépondreSupprimerPas un pion niais j'espère ? Ce serait le comble !
SupprimerBonjour
RépondreSupprimerD'abord une bonne année et longue vie.
Mise à terre par la grippe, j'étais absente. J'ai le cerveau encore dans les chaussettes.
Ah si, il faut que je te dise mon blog va disparaître mais tu pourras me retrouver sur http://lekiosquedesmots.unblog.fr
Bonne journée
A bientôt
Bonjour,
SupprimerJ'espère que ça va mieux alors niveau grippe. Content d'avoir de tes nouvelles et de savoir que je peux te retrouver ailleurs que sur "ton blog qui va disparaître", mais le problème c'est que j'ignore qui tu es. J'ai une petite idée, mais je me trompe peut-être...
Bonne soirée.
Bonjour Marginal,
SupprimerSans vouloir m´immiscer dans des affaires qui ne me concernent pas, je vais t´éclairer ton doûte: il s´agit de Marie Pierre, du site de généalogie.
Bon après midi, bisous, Ismeralda.
Bonjour,
SupprimerMerci Ismeralda, je l'avais deviné et j'ai eu confirmation plus tard.
Bonne soirée.
Toujours fidèle à vous même mon cher Marginal. Encore une façon de défendre ce qui vous est si précieux, votre liberté de vivre et d'expression. Vous ne serez jamais un pion car âme noble fière et indépendante vous êtes.
RépondreSupprimerBonne journée.
Et oui, toujours ! Je défends ce qui est le plus important, tout découle de cette "liberté de vivre et d'expression". Je fais en effet tout mon possible pour m'élever au-dessus du statut de pion : puisse tout le monde en faire autant !
SupprimerA bientôt, bonne soirée.
Nombre de dirigeants voudraient notre société tel un jeu,où seuls eux bien sûr sauraient les règles,où les maîtres-tricheurs seraient rois,
RépondreSupprimerl'être libre doit parler,afficher sa liberté,penser et écrire la vérité,
dire que la fraternité est étrangère à ce jeu,
n'est-ce l'attitude du Marginal !!,
salut à toi et bon dimanche.
C'est ça : on est censé accepter un jeu dont on ne maîtrise pas les règles et où on est les perdants presque à coup sûr... Le Marginal Magnifique ne veut pas être embarqué dans des jeux à la mords-moi le noeud !
SupprimerBonne soirée, à bientôt.
Bonsoir
RépondreSupprimerTu es un fin limier et tu es déjà venu sur mon premier blog. Viens me voir et tu vas vite comprendre. Je vais te donner un indice de taille : passionnée de généalogie, je suis.
Côté grippe, je rame sérieux.
Bonne soirée
A bientôt
Ha voilà, je ne m'étais pas trompé : mon intuition était la bonne, M.-P. ! Je ne savais pas que tu tenais un deuxième blog...
SupprimerEn tout cas si l'autre va être supprimé (pourquoi ?), il faut que je remplace son adresse par celle du nouveau dans mes liens.
A bientôt.
Sommes nous tous des pions sur le grand échiquier de la vie ? La question se pose mais la réponse ne s'impose pas car ce qui fait la différence, c'est l'état de conscience et de non passivité de chacun. La complexité de la condition humaine confrontée à l'ambiguïté du libre arbitre, voilà un thème sujet à grande réflexion que tu abordes avec ton originale gouaille et une détermination sans équivoque. J'aime beaucoup la subtilité de la dernière strophe : ne pas confondre, ne pas être envieux avec ne pas s'affirmer, une fine transcendance du culte de la personnalité dans laquelle nous pouvons tous nous reconnaître, selon notre individualité et l'interprétation de ce texte qui en découle. A bientôt.
RépondreSupprimerTout est en effet dans l'état d'esprit, la conscience des choses et la façon dont on les vit. Une même situation peut être vécue en état de totale soumission ou au contraire en pleine possession des données, des tenants et aboutissants, ce qui permet le contrôle, au moins de son être et de la façon dont on appréhende cette situation.
SupprimerComme tu l'as remarqué, la dernière strophe, qui est aussi celle par laquelle débute le poème, pose une question cruciale : quelle est la limite entre sage résignation et soumission passive ?
A bientôt.
Toi que je ne connais pas mais en qui je me reconnais, tu es stoïquement rebelle et je suis lucidement d'accord avec ce que tu écris car c'est intelligemment et surtout habilement présenté avec la comparaison avec le jeu d'échecs. Totalement allergique à l'idée d'être un pion !
RépondreSupprimerBonne année 2013 et trinquons à notre santé.
Je ne me vois pas comme un "rebelle" : je suis plus dans une démarche de compréhension et de remise en question que dans une opposition systématique. Mais c'est vrai que parfois, du coup, quand ça ne me convient pas, je deviens "rebelle".
SupprimerBonne année et "Santé" !
Bonsoir
RépondreSupprimerJ'ai encore les neurones embrumées mais je fais de la résistance. Mon deuxième est de la moitié décembre. Le premier c'est fini depuis quelques minutes. "Pourquoi" la bêtise.
Bonne soirée
A bientôt
Alors bonjour au deuxième ! Tu as peut-être remarqué que j'ai changé en sa faveur dans mes liens. Mais pourquoi ne pas avoir gardé les deux au fond ? Puis, quitte à changer, tu aurais pu aussi changer de plateforme d'hébergement, je pense.
SupprimerBonne soirée, à bientôt.
Aux échecs c'est comme dans la vie, il faut user de stratégie, de tactique et même de psychologie. Mieux vaut infliger un échec et mat que le subir. Et même si le roi peut être menacé le roi reste le roi et on se comprend le choix est sans appel.
RépondreSupprimerBonne soirée.
Mieux vaut être le roi donc... même un "Roi sans couronne" !
SupprimerA bientôt.
Bonsoir
RépondreSupprimerJ'ai vu que tu as changé le lien. Merci. J'ai eu envie de tout balancer et de recommencer à zéro. A la fin du compte, j'ai gardé certains articles que je vais mettre sur le deuxième. Ce blog va fonctionner un peu comme une revue de presse, il sera plus diversifié mais le fond restera le même les problèmes immobiliers c'est mon cheval de bataille.
Pour la plateforme, j'avoue ne pas y avoir pensé.
J'ai du mordant dans ce domaine et ceux qui font appel à moi ne sont pas déçus.
Merci de ta fidélité
Bonne soirée
MP
Oui, j'ai vu que tu faisais dans la diversité. Je le trouve joli, mais la plateforme n'est pas terrible, car trop limitante et elle impose de la pub au bout d'un moment.
SupprimerBonne soirée.
Du grand n'importe quoi monsieur Le Marginal Magnifique pas ce que vous écrivez qui me parle mais que nous acceptions d'être des pions sur un damier aussi flambant soit-il. je ne plaisante pas avec ma conception de la liberté. Ma devise est: ni envieux, ni frimeur, juste pas dupe et directif. Les vacances sont finies, je reprends le boulot à 14 heures et votre poème me donne du punch.
RépondreSupprimerBonne journée
Ouf, vous m'avez fait peur : j'ai cru un moment que c'était mon poème que vous qualifiiez de "grand n'importe quoi". Ce qui aurait été votre droit le plus strict bien entendu ! Mais j'aime autant qu'il vous parle pour être franc :-).
SupprimerToujours difficile de trouver un juste équilibre entre toutes ces choses : "envieux", "frimeur", "juste", "dupe", "directif", etc...
Courage pour le boulot, il en faut !
Bon après-midi.
Bonsoir
RépondreSupprimerJ'ai toujours refusé d'être un pion. Liberté ma chère liberté. Je décide.
Ma devise pourrait être :"quand je veux, où je veux et si je veux".
Je veux te remercier de tes compliments, ils me font vraiment plaisir. Le blog me ressemble. Pour les chevaux, j'aime surprendre mais je les adore.
Bonne soirée
A bientôt
MP
C'est une bonne devise, du moment qu'elle n'empiète pas sur la liberté des autres.
SupprimerBonne soirée !
Recoucou
RépondreSupprimerMa liberté s'arrête là où commence celle des autres.
Bonne soirée
MP
Bonne soirée !
SupprimerSi mes pas me guident ici de temps à autre, il est temps pour moi de laisser ma trace. Sans vouloir vous offenser, je ne sais si j'apprécie vos écrits. La perpléxité dans laquelle ils me plongent reste toute nouvelle à mes jeunes yeux. Cependant, sorte le littéraire anticonformiste, abhorrant alexandrins et vers à rallonge, je prends un plaisir étrange à lire ces bizzareries poétiques. Tel le Chapelier fou de Carroll, vos écrits séditieux apportent un soudain intérêt à ce pays où les merveilles se font rares...
RépondreSupprimerPas encore échec et mat, je ne demande qu'à me laisser séduire
Merci pour cette "trace" intéressante.
SupprimerJe ne suis pas du genre à m'offenser, ici ce qui prime c'est la liberté d'expression et l'ouverture d'esprit : chacun peut dire ce qu'il veut, d'accord ou pas d'accord, je n'ai jamais encore censuré un commentaire. Même les avis les plus rustres, négatifs ou stupides ont été publiés et le vôtre, lui, est tout sauf idiot, bien au contraire, je le qualifierais plutôt de brillant.
En tout cas, je suis content que mes textes vous rendent perplexe, c'est bon signe ! Ainsi ne vous laissent-ils pas insensible et peut-être vous déstabilisent-ils dans certaines de vos croyances...
Pour ce qui est de la forme, comme je l'ai écrit ailleurs, je veux une poésie accessible et fun : on est d'accord, y en a marre des "vers à rallonge" et trop hermétiques !
Beaucoup déplorent qu'on ne lise plus de poésie, mais à force d'ennuyer les gens avec des trucs lourds qui ne veulent rien dire, il est naturel que l'on s'en détourne. On ne peut que comprendre cette désertion qui apparaît comme logique.
Puis s'imposer une foule de contraintes empêche la clarté d'expression et de dire exactement ce que l'on veut.
Je ne sais pas si on peut me comparer au Chapelier fou, car je suis moins taré et illogique (j'espère), mais je veux bien être celui qui remue le monde et dans la foulée entraîner Marine au Pays des Merveilles.
Pas encore échec et mat ? Sans doute pat alors. Il faut recommencer la partie et la séduction opérera peut-être...
Alors continuons la partie.
SupprimerPas de problème !
SupprimerLa notion de liberté est tellement personnelle et illusoire que je crois qu'on est tous un peu manipulés comme tu l'évoques dans "la matrice". L'essentiel et la différence c'est de s'en rendre compte et de réagir. Faites comme moi, jouez aux échecs, il n'y a pas mieux que d'affronter un adversaire sur le tablier pour son égo, tout travaille, l'intelligence, les capacités intellectuelles, l'esprit de compétition, un méga exercice pour être mieux dans ses baskets et quand tu es le joueur victorieux qui mate tu es le roi du monde. Je trouve très subtile et bien ciblé par rapport à ton thème la mise à l'honneur de ce noble jeu qui me passionne. Bonne année.
RépondreSupprimerEst-ce qu'il existe une liberté objective ? Peut-on être totalement libre ? Ce n'est pas un site dédié à la philosophie et au questionnement métaphysique, mais le problème est assez intéressant pour qu'on s'y intéresse l'espace de quelques lignes. Afin de donner des pistes de réflexion, j'aimerais citer le roman de Gide, "Les caves du Vatican", dont une partie de l'intrigue me vient à l'esprit.
SupprimerDans ce livre, Lafacadio pousse un autre personnage hors du train pour le tuer en un acte gratuit. En premier lieu, il apparaît que l'acte n'est pas gratuit ni libre, puisqu'il a une raison qui est de prouver qu'il est possible d'être entièrement libre des nos actes. Ensuite, la fin qui met en scène un Lafcadio torturé par le remords démontre la gravité des conséquences qui découlent de son acte et tend à exprimer qu'aucun acte n'est libre et totalement gratuit. Dans la même veine, on peut aussi songer à "Crime et châtiment" de Dostoïevski...
Pour ce qui est du jeu d'échecs, que j'ai un peu pratiqué dans mes jeunes années, je suis d'accord pour lui attribuer les qualités mentionnées : je pense effectivement qu'il est le plus noble des jeux de société.
Meilleurs voeux, à bientôt.
Résister faut-il,mais l'ennemi est insaisissable,quelle malice le bougre,
RépondreSupprimermais qu'importe finalement,aimer et ne trahir cette passion de vie,
n'est-ce l'essentiel,
comme ça énerve l'adversaire quand avec patience et sourire,nous avançons nos pions !!
Salut à toi et bonne soirée.
Être fidèle à soi-même, ne pas se trahir ni trahir, sans doute ça l'essentiel, oui...
SupprimerBonne soirée.
Que deviendrait la Société sans les pions ? Que deviendraient les échecs sans les pions ? Facile de répondre: un autre monde, un autre jeu !
RépondreSupprimerCependant nous savons tous qu´il faut de tout pour faire un monde et il est essentiel que nous acceptions et valorisions le rôle de tout chacun... A force, de ne vouloir pas être pion et de mépriser cette pièce/cette fonction (comme le dit quelqu´un dans un commentaire, on peut finir niqué !) on crée beaucoup de situations tendues : ceux qui n´ont pas de postes à responsabilités se sentent comme de pauvres êtres et ceux qui ont les commandes regardent leurs subalternes avec le mépris du MOI JE! En référence aux "Mondes de Ralph" nous avons tous besoin les uns des autres.
Bonne année 2013.
Bisous Ismeralda
Loin de moi l'idée de mépriser cette pièce ni qui que ce soit.
SupprimerOn dit qu'il n'y a pas de sous-métiers et je crois que c'est vrai. Le problème du pion est qu'il a les conditions de vie qui vont avec sa fonction. Et si en plus il voit ceux du dessus qui se régalent, alors là il y a vraiment de quoi créer "les situations tendues" dont tu parles !
Oui, nous avons "tous besoin les uns des autres", la phrase est jolie ok, mais ce besoin se transforme un peu trop souvent en exploitation, voire en esclavage.
A bientôt.
Tout joueur d'échec sait que le pion est l'âme du jeu d'échecs. A la course à la promotion c'est le plus rapide qui emporte la victoire souvent. Alors pion ou pas pion, l'important c'est le mental de chacun qui fait la nuance considérable sur l'impact qu'on donne au mot manipulation, par rapport à soi-même et aux autres. Certes sa position dans la société compte mais l'être humain qu'on est avec toutes ses valeurs est encore plus important et ne jamais se dévaloriser aide à s'épanouir. J'apprécie ce poème intelligent comme le jeu d'échecs car il donne matière à grande réflexion encore comme les échecs.
RépondreSupprimerBonne journée
Merci pour ton avis : reviens vite le donner !
SupprimerA bientôt.
Ne pas se laisser bouffer par les autres et la société, bon on essaie mais c'est quand même plus facile quand on est le roi. Perdant un jour, gagnant le lendemain, la chance et le hasard jouent, on devient plus fort, plus stratège et tourne le manège de la vie. Et il faut partir bosser. Salut et bonne journée.
RépondreSupprimerAlors il faut devenir le roi ! Il y a plusieurs façons de le devenir et on peut être aussi un "Roi sans couronne" !
SupprimerBonne soirée.
je me contente de ce que j'ai dans le sens ou je ne suis pas envieuse de ce qu'à l'autre mais, je veux toujours plus! C'est ce qui me fait avancer, courir même! Je me donne un but tourné vers le bonheur, la satisfaction, le plaisir...!Une épicurienne? Oui sans doute mais pas à n'importe quel prix ni pour n'importe quoi ou n'importe qui! Bonne nuit, Charlotte
RépondreSupprimerUn roi sans couronne? Et, tu porterais ta croix?...sourire.
à+
Avoir un but est essentiel, quel qu'il soit, pour garder l'équilibre mental, mais il y a des buts plus nobles que d'autres.
SupprimerBonne nuit (déjà ? Pas pour moi !)