Tromper le temps tromper la vie
Que nous reste-t-il pour espérer
Faire la java en maillot à Ibiza
Commander une grande pizza
Cueillir un bouquet de mimosa
Se tatouer comme un yakuza
Ou alors s'accoupler être deux
Mais nulle confiance en autrui
Trop d'humains sont des truies
Ces phrases sont des truismes
Comme dire la vie nous détruit
Tromper la mort tromper l'ennui
Que nous reste-t-il pour exister
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Nulle confiance en autrui
RépondreSupprimercombien sommes-nous aujourd'hui
à ressentir ce triste sentiment
à en souffrir secrètement...
Que reste-t-il pour exister
un esprit vif un oeil exercé
souvent aussi au fond de soi
de l'âme-soeur trouver l'espoir...
Bonne journée Marginal
Emma
"Chat échaudé craint l'eau chaude", dit-on. Alors, il faut croire que beaucoup ont été bien "échaudés", et souvent, pour n'avoir "nulle confiance en autrui".
SupprimerPour ce qui est de l'"âme sœur", pas sûr qu'on puisse se raccrocher à ce concept pour exister. Mais lorsqu'il s'agit de garder foi en la vie et de combattre le "spleen" tout est bon !
Merci pour ton poème-commentaire, à bientôt.
Emma comme Emma La Luce ?
SupprimerTiens je connaissais pas cette Emma La Luce ! Je te reconnais bien là !
SupprimerVous gens de la planète, répondez à ma quête : Je cherche du temps,, oui du temps,
SupprimerPas dans les Bandes Dessinées, Ni auprès de Sa Majesté , mais auprès de vous :
Avant je me foutais du temps, peut importe qu'il passe ou pas,
Je perdais mon temps, mais maintenant je suis en manque.
Que faire ?
Allez dans les chambres des mourants et leur prendre
Leur dernier souffle : nonnnn, ce serait du temps mort.
Dans mon congélo, j'ai plus rien, j'ai tout gaspillé---->
Plus de réserve.
maintenant le temps m'est compté, et je voudrais avoir le temps
De prendre mon temps pour avoir encore du temps
Devant moi, mais si je lui laisse trop de mou, il va filer ce petit con.
YiiiiiiHaaaaaa
Il me faut une idée, une Bonne idée, prenons le temps,
Action : Retard de l'écoulement du temps-Pause.
Mais bien sûr, bon sang, j'ai une touche sur mon clavier de bord,
Je peux donc agir a loisir, mais ne pas abuser du temps,Non.
Mais réflexion faite, si j'arrête mon temps de vie, j'ai pas envie
De perdre mon temps bêtement, mon temps est précieux, Il vaut de l'or.
Je vais me mettre en colère, saleté de temps,viens ici et de suite,
Tu m'entends ? Allez....Viens, viens,......ouiiiii
Comme ça, c'est bon de prendre son temps quand on a du temps
A perdre et que finalement on se fou du temps qui passe.
Heu;;;;;;;Fin
Ah, le temps ! Vaste sujet, obsédant, angoissant : "Le temps nous appartient", "Produits de consommation", "Le temps réapproprié", "La roue".
SupprimerMerci pour ce texte-commentaire et à bientôt.
Le cafard de l'automne, c'est bien connu. On écrase la vilaine bête et on profite des belles couleurs comme celles de la magnifique feuille de l'illustration. Salut et bonne journée.
RépondreSupprimerMerci pour ce commentaire et ton état d'esprit positif : il faut que tu sois bien optimiste pour voir de "belles couleurs" dans la "magnifique feuille de l'illustration" qui est n'est rien d'autre qu'une feuille de platane fanée et échouée sur le froid métal de ce qui semble être une bouche d'égout !
SupprimerBonne soirée, à bientôt.
Il ne reste rien !
RépondreSupprimerJe me doutais bien que ce ne serait pas de ton côté qu'il faudrait chercher du réconfort ! Il reste quand même une Brebis Galleuse pour enculer le système et, ça, ce n'est pas rien...
Supprimersi tu le dis !!!
SupprimerPS : et pourquoi pensais-tu que je ne t'apporterais pas du réconfort ???ça alors !
SupprimerParce que je sais à quel point tu portes l'être humain dans ton cœur ! Et je crois connaître, si elle n'a pas changé, ta façon d'envisager le couple...
SupprimerMais je te taquine aussi ;-).
SupprimerNous avons tous des moments de doute et de vague à l'âme. Et la vie continue avec ses joies et ses peines et il faut garder en tête les bons moments et se distraire le plus possible en faisant ce qu'on aime et en choisissant ses relations, c'est ce que je fais. Bonne soirée monsieur Le Marginal Magnifique.
RépondreSupprimerDes paroles sages et pleines de bon sens, Alix ! Il faut effectivement garder en tête, même si c'est parfois difficile, que tout change, que les sensations sont fugitives et que les peines alternent toujours avec les joies.
SupprimerPour ce qui est de "se distraire le plus possible", hum, pourquoi pas, mais cette méthode n'est au fond qu'une façon, au final assez limitée, de fuir en se grisant.
Puis, malheureusement, on ne se soustrait pas si facilement au "spleen" qui est en quelque sorte consubstantiel à l'être humain : il est une angoisse existentielle qui relève de sa nature même, celle d'un être conscient qui ignore le sens de son existence mais sait qu'il a une fin.
Merci pour le commentaire, à bientôt.
Après l’Idéal, le Spleen, cher Marginal ! « Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle… » Nous connaissons la suite, n’est-ce pas, nous l’avons expérimentée bien des fois… Votre poème, comme souvent, va bien avec la saison. Vous nous livrez là un pur condensé de Marginal Magnifique : de la concision, du pessimisme, une pointe de misogynie, un jeu virtuose sur les sonorités, un peu de cul, un peu d’humour, bref, c’est du très bon ! J’aime bien cette veine impersonnelle, universelle, comme dans Bulldozer ou Guérilla, davantage peut-être que les poèmes où vous clamez votre position irrécupérable, marginale et libertaire. Tout le monde peut se reconnaître dans ce Spleen, tandis que, malheureusement ou heureusement, il n’y a qu’un seul Marginal Magnifique !
RépondreSupprimerQue faire en attendant la mort ? Eh bien, ça fait cinq mille ans qu’on se pose la question… Il se dégage de votre poème un parfum du « divertissement » pascalien : tout est égal, tout est vain. Je suis sûr qu’au fond de vous, vous avez une réponse, moi aussi j’ai la mienne, mais ce ne sont pas des mots, c’est une vie qui prouve que la voie qu’on a choisie vaut le coup. Quelques pizzas et quelques truies au passage ne peuvent pas faire de mal, malgré tout !
L'Idéal en question est aussi une invitation au voyage, cher Laconique ! Enfin, pas trop loin quand même, le voyage : un voyage plutôt symbolique qui représente la liberté retrouvée. Et, concernant le titre de "Spleen", j'aurais aussi pu intituler ce poème "Truismes" pour être plus original, mais je voulais m'inscrire, vous conviendrez d'ailleurs que rien n'est moins mérité, cher Laconique, dans la lignée de Baudelaire, alors...
SupprimerVous parlez d'"une pointe de misogynie", cher Laconique, mais vous serez certainement plus réservé sur le terme de "pointe" lorsque vous saurez que la version originale du poème comportait le vers suivant : "trop de femmes sont des truies". Pour une fois, Le Marginal Magnifique s'est donc censuré en remplaçant "femmes" par "humains". Que voulez-vous, cher Laconique, je ne voulais pas trop brusquer mes lectrices qui ont une sensibilité ultradéveloppée sur le sujet ! Et puis pour me faire encore traité de phallocrate, de macho et d'autres conneries de la sorte... De toute façon, la misogynie contenue dans le poème n'échappe pas à l'œil expert !
Je vous remercie en tous cas pour tous les compliments que vous faites sur ce poème, ils sont d'autant plus appréciés que l'administrateur et rédacteur du "Goût des lettres" est tout sauf un petit joueur en matière de littérature. Comme vous le remarquez à juste titre, j'essaie de varier les plaisirs et propose des poèmes parfois "impersonnels" et "universels". Je crois cependant que même dans les poèmes où je "clame ma position irrécupérable, marginale et libertaire", on peut trouver de l'universel.
Pour ce qui est de ma réponse à la question "que faire en attendant la mort ?", je ne sais pas vraiment en fait. La seule chose que je sais concernant cela c'est qu'il faut, selon moi, pour le peu de temps que l'on est de passage ici-bas, s'efforcer d'être le moins possible nuisible, afin de partir la conscience propre, avec dignité et panache. Et si, au passage, on peut faire plaisir à "quelques truies" voraces, pourquoi pas, il faut être charitable, cher Laconique ! Ce n'est pas à un cochon comme vous que je vais l'apprendre...
Le goût des lettres ou l'ennui personnifiée. J'ai horreur de ces littérateurs qui font de jolies phrases. Mon amie Chriss Alphabéta, une nerveuse de première pense la même chose. Toi, tu écris sèchement, c'est ce qui me plait. Parlez-moi de Cioran, c'est bien mieux.
SupprimerC'est un autre registre, on est davantage dans le sérieux avec Le goût des lettres, Laconique défend une littérature tout ce qu'elle a de plus classique, mais il est extrêmement ouvert d'esprit et cultivé, ce qui fait sa valeur. Mais peut-être que le Laconique en question te répondra mieux... Moi je fais plus court, Le Marginal Magnifique est moins ambitieux littérairement et plus axé sur le fun.
SupprimerEt avec Le Brebis galleux, on a encore autre chose : toi tu détruis tout, tu mets cher, mais tu es plus ouvert au monde qui nous entoure, à la politique, aux lobbies, aux people aussi, tu es plus dans le pamphlet trash. Tu multiplies les références en un style très dense qui t'est propre et je dois avouer que j'ai parfois du mal à te suivre. Peut-être parce que ton esprit va très vite et fait plein de raccourcis, ou alors peut-être parfois parce que les références m'échappent... En tout cas t'y vas pas avec le dos de la cuillère ! Peu de trucs trouvent grâce à tes yeux...
Apparemment, tu aimes le lapidaire : avec Cioran, tu es servi, c'est sûr ! J'ai quasiment tout lu de Cioran, j'ai été très fan à une période, mais sa lecture, si elle accroît la lucidité, n'est pas particulièrement bonne pour développer une capacité à la joie, on peut pas dire !
Trouver l'envie de ses dons,découvrir le talent guide de sa création,suivre sa voie alors et aimer vivre encore,en toute l'espérance de nombreux jours,
RépondreSupprimerpoint de spleen l'ami,
salut à toi Le Marginal et bonne soirée.
Je me doutais bien que Le Chasseur d'images spirituelles rejetait de tout son optimisme le spleen !
SupprimerBonne soirée, à bientôt.
Le spleen, connais pas. Non, c'est pas vrai comme tous le monde j'ai des hauts et des bas mais on fait avec et il y a des jours où il fait très beau dehors et dans ma tête comme le Marginal je pense. Une bonne journée de la part de Tess.
RépondreSupprimerLe spleen dépasse le simple petit coup de déprime ! Comme je le disais plus haut il est une angoisse existentielle, quasi métaphysique... Mais si tu ne le "connais pas" tant mieux !
SupprimerBonne journée.
Allons , déjà blasé? Il est trop tôt!
RépondreSupprimerJe suis un éternel blasé ! Longtemps j'ai été blasé de bonne heure...
SupprimerUn mélancolique poème tout en doutes existentiels et en interrogations désabusées. Mais la solution miracle est l'espoir, le vital espoir qui, comme l'été succède à l'hiver nous fait renaître à l'espérance de lendemains meilleurs et éloigne les pensées grises. L'état de spleen et celui d'espérance sont inhérents à la nature humaine et à chacun d'équilibrer sa balance dans le bon sens en fonction de sa personnalité. On s'abandonne tous à des pensées négatives mais l'essentiel est de ne jamais abandonner. Ce mélancolique poème agrémenté de traits d'humour et très pertinent par sa réflexion me fait songer aux "Pensées" de Pascal, l'homme est bien un fragile roseau mais pour son bien mais aussi son mal, il pense. A méditer.
RépondreSupprimerBonne journée.
Oh, plus que d'"espoir" je parlerais d'état d'esprit positif en général. Je retiendrai surtout de ce commentaire la réflexion suivante : l"espérance" est "inhérente à la nature humaine". Ce n'est pas faux... Donc, encore une fois, si spleen et espoir font partie de l'être humain, il faut essayer d'orienter ses pensées afin qu'elles adoptent l'espoir plutôt que le spleen, afin de ne pas se morfondre.
SupprimerBon, quoi qu'il en soit, ce poème est en effet un moyen agréable, voire amusant, de réfléchir et de se livrer à une douce rêverie mélancolique. Il est parfois aussi plaisant de s'abandonner à ses sensations de vague à l'âme ! Pour mieux les comprendre et peut-être les combattre lorsqu'elles nous assiègent intempestivement...
Grâce à cette peste de Brebis que j'aime, je suis atterrie ici. Joie.
RépondreSupprimerBienvenue, La rouge, alors ! La Brebis a des amis recommandables contrairement à elle ;-) ! Joie.
SupprimerIl nous reste le rêve, ce petit bout de ciel bleu là bas qui nous laisse un espoir. Peut-être un mince espoir mais c'est celui qui nous aide à poursuivre le chemin. Chemin semé d'embûches, de désillusions souvent. J'entrevois la noirceur de novembre, j'appréhende ses chrysanthèmes avec son flot de larmes et désespoir..
RépondreSupprimerCher Poète, permettez-moi de vous prier de changer ce gris de fond, la lecture est fastidieuse et cela est fort dommageable.
Garance
Chère Garance, merci pour ce commentaire d'abord. Raccrochons-nous à ce "petit bout de ciel bleu" alors, mais dans quelle direction faut-il donc regarder pour l'entrapercevoir ?
SupprimerPour ce qui est de ce "gris de fond" qui "rend la lecture fastidieuse", j'imagine que vous voulez parler de la couleur de la fenêtre dans laquelle apparaissent mes commentaires : je suis entièrement d'accord avec vous et qui ne le serait pas ? Du noir sur du gris foncé ça n'a jamais facilité la lisibilité... Cependant je ne parviens pas à modifier cette couleur, j'avais déjà essayé et il faudrait effectivement que je me penche encore plus activement sur le problème.
Pour l'heure, que cela ne vous décourage pas de laisser votre intéressant avis ! À bientôt.
Un Baudelaire des temps modernes notre Magnifique Marginal? Le spleen est un mal nécessaire pour apprécier ensuite les beaux moments qui s'offrent à nous...ces beaux moments sont rares et c'est pour cela que, lassés d'attendre parfois, le spleen nous envahit! Mais, je reste persuadée que tu as déjà repris le dessus...mais, chut, le Magnifique Marginal garde ses secrets...bon WE très cher, à bientôt j'espère... C.
RépondreSupprimerJe veux bien être Baudelaire, mais en plus fun alors. J'ai toujours un peu le spleen, c'est le lot des gens plus sensibles, mais je n'en souffre pas du tout, car j'ai su l'apprivoiser. Merci pour ton commentaire.
SupprimerÀ bientôt.
A chacun de nous de trouver sa direction, celle de la sagesse, de l'amour, de la compréhension. Mais quel labeur lorsqu'on ne croit plus en rien, ni en personne.. Mon petit chat est mort, c'est un déchirement. Pourtant certains diront : ce n'est qu'un animal, certes, mais nous nous côtoyions depuis 16 ans. Les gens ne comprennent rien, je me demande si je ne suis pas devenue misanthrope...vous êtes tellement gentil Cher Poète, vous au moins vous aimez les animaux...
RépondreSupprimerAh oui, quant à votre problème de gris, de noir, tant pis....ne dit-on pas que le noir cache et sublime en même temps :)
Bonne soirée
Garance
Je comprends très bien pour votre "petit chat". Pour ce qui est d'aimer les animaux, ça oui, je les aime ! Ils me touchent comme rien d'autre en ce bas monde. Pas pour rien que je parle d'eux si souvent : "Dogs'dreams", "Shoanimaux", "La brebis", "Loup", "Laïka", "À Léon", etc...
SupprimerMerci pour le commentaire, bonne soirée, à bientôt.
L'ennui n'aime la connaissance,elle infinie qui ne cesse de nous émerveiller,de nous offrir sa science,d'éveiller nos sens,d'interpeller notre conscience,une vie,ah quelle évidence,ne suffirait pour s'emplir de toute sa sagesse,car la connaissance,elle aussi près du cœur,sait l'intimité de notre amour,
RépondreSupprimerla connaissance peut nous ramener vers la réalité de notre bonheur,l'ennui alors déjà si loin,rend son oubli,vraiment n'aime-t-il la connaissance.
très bon dimanche à toi Le Marginal.
La connaissance comme remède à l'ennui, et, plus largement, la curiosité, l'envie d'apprendre, pour lutter contre le spleen : oui, j'adhère, c'est un bon moyen !
SupprimerBon dimanche à toi aussi, à bientôt.
Moi, je dirais la distraction, se distraire pour éviter d'avoir des coups de mou, faire ce qu'on aime avoir des hobbies, et vogue le bateau. Bonne journée.
RépondreSupprimerVogue le bateau ou la galère ? Merci pour le commentaire et à bientôt.
SupprimerQuand on lit tous vos émouvants poèmes sur les animaux, il y a de quoi avoir le spleen et de s'affliger et de se poser bien des questions et d'avoir du malaise. Merci pour votre belle sensibilité pour tous ces êtres qui ont droit aussi à de la considération et méritent qu'on s'attardent sur eux. Justine.
RépondreSupprimerQuand on songe à toute la souffrance animale, ce n'est même plus une question de spleen : il y a de quoi être écœuré de ce monde et de l'être humain au point d'avoir honte d'en être un et de fouler la même terre que tous les tortionnaires.
SupprimerOk, si j'étais allée voir vos engagements, j'aurais eu la réponse à ma question. Vous êtes vegetarien, c'est un bon début mais certes pas assez car il y a autant de souffrance et de sang dans la viande que dans le lait. Mais chacun son rythme et j'imagine que vous tendez à dépasser le *risme pour le *lisme.
SupprimerÉh oui, je n'ai pas encore abandonné tous les produits animaux. Je mange des œufs et bois du lait, bio ce qui est un moindre mal, mais je suis conscient des souffrances qui restent liées aux conditions de production, bio ou pas, particulièrement pour le lait (j'en parle un peu ici, bien que cela reste incomplet "Vaches à lait").
SupprimerJ'avoue même manger encore du poisson et des fruits de mer, parfois, et ma conscience me travaille de plus en plus. En revanche, je suis extrêmement rigoureux concernant ce qui est issu de l'assassinat des autres animaux et personne ne pourra plus m'en faire ingurgiter ne serait-ce qu'un gramme.
J'espère un jour passer au "lisme", ce qui est compliqué pour l'instant, sur un plan nutritionnel. Malheureusement, l'alimentation végétalienne est assez peu développée en France, contrairement aux États-Unis où l'on trouve de tout.
Puis cela est sans doute davantage compliqué pour un homme, sportif qui plus est, que pour une femme, mais pas impossible, j'en ai conscience et ai pu voir de nombreux exemples de personnes qui tendent à le prouver. Je compte donc adopter ce mode alimentaire un jour, probablement lorsque je serai plus âgé, si je n'y parviens pas avant.
Merci de prêcher la bonne parole en tout cas.
Remplacer les oeufs par les avocats, le lait des animaux par le lait vegetal, les yaourts et les fromages vegetaux. Dans chaque magasin bio, épicerie orientale et asiatique, supermarché et grande surface, vous trouverez très largement de quoi vous alimentez vegetalien. Supplémentez en B12 et levure malté, et le tour est joué. Une petite video bien sympathique pour vous rassurer sur la forme des sportifs de haut niveau (même pas dopés !) : Proof! The Raw Vegan Debate Is Over! http://www.youtube.com/watch?v=ucHEVNX2c9o
SupprimerMoi meme qui ai la quarantaine passée, vegan depuis une dizaine d'années, je n'ai rien a envier à une jeunette et je défie n'importe laquelle en endurance et autres efforts physiques. Juste pour ma petite histoire, il m'a fallu deux mois pour passer d'omnivore à vegan quand j'ai eu compris toute l'horreur de la condition animale et découvert les alternatives à 2000 ans de pilonnage socioculturel ;) Vous en savez trop maintenant pour ne pas franchir le cap. Plus d'excuse ^^ Héhé dsl je suis un peu du genre à mettre la pression, mais "Si vous pensez que c'est difficile d'être vegan, imaginez à quel point c'est difficile pour les animaux que vous ne le soyez pas". Gary L. Francione
Marianne (non je ne suis pas anonyme mais je n'ai pas encore trouvé comment inscrire mon pseudo)
Le problème se situe au niveau des protéines en fait, pour obtenir une quantité acceptable. Les avocats ne peuvent donc pas remplacer les œufs...
SupprimerDisons qu'aux États-Unis tous les produits que l'on trouve au supermarché ont été adaptés pour les végétaliens, vraiment tout, c'est plus répandu et plus simple je pense. Heureusement j'ai trouvé la marque Sunwarrior qui fabrique des protéines végétales de grande qualité, mais on trouve difficilement les produits de cette marque en France, il faut donc commander par internet.
J'ai déjà vu des vidéos et lu des témoignages de sportifs végétaliens. Il y a un américain qui est assez impressionnant et qui prouve que l'on peut être végétalien avec une condition physique extraordinaire, c'est Franck Medrano.
Je ne suis pas étonné de ce que vous me dites concernant votre "endurance" aux "efforts physiques". Les bienfaits d'une alimentation saine, végétalienne, ne sont plus à prouver pour ceux qui la testent ! On se sent plus léger, physiquement et moralement.
À bientôt.
Je vous découvre et constate votre grande sensibilité pour les pires damnés de la terre que sont les animaux non humains. Je suis touchée. C'est une des plus grandes qualités et ouverture d'esprit que de les comprendre, faire preuve d'empathie et défendre ceux qui n'ont pas de voix pour se faire entendre. Avant de me plonger dans vos écrits les concernant, j'ose espérer que vous êtes vegan ... concretement.
RépondreSupprimerCar vous avez totalement raison : " Nous perpétrons vis-à-vis des animaux un gigantesque massacre à nul autre pareil, un enfer sans fin, un océan sans limite de terreur, d'épouvante et d'effroi. Dans nos abattoirs, laboratoires et autres camps de concentration pour animaux, des millions et des millions d'animaux sont torturés à mort chaque jour ". Helmut F. Kaplan
Vous avez suggéré développer le sujet ultérieurement. J'espere que vous le ferez et j'essaierai d'apporter ma contribution du mieux que je peux pour ouvrir les yeux de ceux qui n'ont toujours pas compris ou qui font semblant de ne pas comprendre.
Go vegan.
Vous prêchez un converti ! J'essaie d'avoir une vie en concordance avec mes idées, aussi serait-ce une aberration si je mangeais de la viande avec ce que j'écris sur les animaux. Il faut être un peu conséquent ! J'ai traité le sujet ici : "Popeye" et dans les nombreux commentaires qui sont associés au texte. J'essaie d'apporter ma modeste pierre à l'édifice qui reste malheureusement à construire...
SupprimerSoyez en tout cas sûre qu'avec moi vous avez un allié dans ce combat et je suis heureux de constater qu'il y a des gens comme vous. N'hésitez pas à partager d'autres citations ou vos avis ici, ils seront les bienvenus.
Bonne journée, à bientôt.
RépondreSupprimerHARKIS LES CAMPS DE LA HONTE
lien vers http://www.dailymotion.com/video/xl0lyn_hocine-le-combat-d-une-vie_news
En 1975, quatre hommes cagoulés et armés pénètrent dans la mairie de Saint Laurent des arbres, dans le département du Gard. Sous la menace de tout faire sauter à la dynamite, ils obtiennent après 24 heures de négociations la dissolution du camp de harkis proche du village. A l'époque, depuis 13 ans, ce camp de Saint Maurice l'Ardoise, ceinturé de barbelés et de miradors, accueillait 1200 harkis et leurs familles. Une discipline militaire, des conditions hygiéniques minimales, violence et répression, 40 malades mentaux qui errent désoeuvrés et l' isolement total de la société française. Sur les quatre membres du commando anonyme des cagoulés, un seul aujourd'hui se décide à parler.
35 ans après Hocine raconte comment il a risqué sa vie pour faire raser le camp de la honte. Nous sommes retournés avec lui sur les lieux, ce 14 juillet 2011. Anne Gromaire, Jean-Claude Honnorat.
Sur radio-alpes.net - Audio -France-Algérie : Le combat de ma vie (2012-03-26 17:55:13) - Ecoutez: Hocine Louanchi joint au téléphone...émotions et voile de censure levé ! Les Accords d'Evian n'effacent pas le passé, mais l'avenir pourra apaiser les blessures. (H.Louanchi)
Interview du 26 mars 2012 sur radio-alpes.net
Bonjour Louanchi,
SupprimerJ'ai une question : est-ce que tu as vu marqué sur le fronton du site "Lieu de propagande que chacun peut spammer à loisir et abusivement" ?
La réponse est NON ! Et sais-tu pourquoi ? Tout simplement parce que CE N'EST PAS ÉCRIT !
Cela étant dit, tout le monde connaît mon ouverture d'esprit légendaire et mon refus de toute censure. Aussi j'accepte cette fois de publier ton commentaire qui n'a absolument aucun rapport avec mon poème et dont le sujet ne m'intéresse absolument pas, mais qu'on ne t'y reprenne plus !
Dorénavant tu es le bienvenu si tu fais un effort pour t'intéresser au contenu du site et que cela transparaît dans les commentaires que tu laisses.
À bientôt avec de meilleures dispositions.
Pour lutter contre le cafard vous avez tout dit dans le poème, une bonne bouffe, s'accoupler quand çà marche parce que si ça marche pas c'est pire, la nature c'est beau un mimosa en fleurs et tromper l'ennui le plus possible, après pour les gens qu'on côtoie vous avez raison , il faut trier car on est pas toujours bien entouré et j'en sais quelque chose. Bon c'est le week-end, gardons le moral Le Marginal et bonne soirée.
RépondreSupprimerMouais, mais comme je le dis aussi ces solutions tournent court, on a vite fait le tour...
SupprimerMerci pour le commentaire en tout cas, bon week-end !
J'ai lu vos commentaires sur un site que je n'oserai citer pour ne pas vous faire du tort (petite indication : attributs de la femme) je suis morte de rire tellement ils sont criants de vérité. Votre coquinerie est à la hauteur de votre art à manier les phrases et les mots :))
RépondreSupprimerMerci pour votre commentaire, chère Hortense !
SupprimerJ'assume parfaitement les commentaires que j'ai mis sur ce site que vous "n'osez citer", mais c'est peut-être mieux en effet de ne pas faire sa pub ici. En tout cas vous avez bien compris que ces commentaires sont à prendre au second degré et je suis content qu'ils vous aient réjouie. Et j'ai pas fini de m'amuser à en mettre, comptez sur moi !
À bientôt ;-).
Point de cafard,l'espérance attend près de notre âme,si beau et sincère est son sourire,d'un charme divin,accueillons la belle en notre conscience,
RépondreSupprimertrès bon week-end Le Marginal,.
Des paroles optimistes... Bon week-end à toi !
SupprimerVivre, c'est métro, boulot, dodo. Exister, c'est faire ce qu'on a envie, se réaliser, s'épanouir dans ses passions et ses engagements. Heureusement j'en ai et j'espère qu'il en est de même pour vous cher Marginal, vous le mystérieux et l'insaisissable. Bonne nuit.
RépondreSupprimerEffectivement il y a une différence entre "vivre" et "exister"... À bientôt.
SupprimerTristesse en cette période de l'année
RépondreSupprimeraprès la gaité obligée...
mais la solitude incrustée
avec des mains fatiguées
à force de devoir scier ...
Bonne fin de journée Marginal
Amitiés Emma
Après le spleen automnal, le spleen hivernal... On prend cher ! Bonne soirée.
SupprimerMon commentaire a été scratché, et je n'ai pas le courage de recommencer. excuse-moi.
RépondreSupprimerJe comprends, ça m'est déjà arrivé ce genre de truc. La solution : fais des commentaires plus courts ! Pas besoin d'envoyer des tartines.
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